DOCUMENT: *D63

 

TITRE: Composition de diverses catégories de nébuleuses astronomiques, structure des nébuleuses toroïdales, influences tétradimensionnelles dans l'espace engendrées par notre cosmos jumeau.

 

KEYWORD: *ASTROPHYSIQUE

 

COMMENTAIRES :

 

RECUE le 25/07/67 par Mr GARRIDO à Madrid en langue Espagnole .

 

UMMOAELEWEE, 25-VII-1967

 

Lors d'une communication téléphonique que nous avons eu avec vous, vous sollicitiez l'envoi d'une Série de documents concernant les thèmes astronomiques .

 

La difficulté consiste à choisir dans la gamme de nos connaissances dans ce domaine, les faits ou les thèmes qui vous soient le plus accessibles, dans le domaine de l'astrophysique analysée par les scientifiques de la terre .

 

Dans ce qui va suivre, nous allons vous donner des renseignements concernant les caractéristiques de quelques structures situées dans notre galaxie, et pratiquement inconnues des astronomes de la Terre .

 

Du moins nous n'en avons pas trace dans les différents bulletins et publications périodiques des observatoires .

 

Nous commençons aujourd'hui par les IAGIAAIAOO (?) . Il s'agit de certaines nébuleuses que vous n'avez pas répertoriées et dont la forme, dans les cas que nous connaissons est annulaire (en réalité toroïdale) .

 

Ceux d'entre vous qui ne seraient pas spécialisés dans les thèmes touchant à l'astrophysique auront peut-être une vague idée des diverses nébuleuses étudiées jusqu'ici par les terriens .

 

Dans ce cas concret, vous ne devez pas inclure ce type de nébuleuses parmi celles que vous appelez Nébuleuses extragalactique . Bon nombre de celles-ci sont, comme vous le savez de véritables galaxies formées par un nombre élevé d'astres chauds . Il existe aussi une multitude immense de nébuleuses beaucoup plus petites que celles qui sont répertoriées et dont la composition, la structure, la température et le rayonnement diffèrent notablement de l'une à l'autre.

 

Dans certains cas il s'agit de conglomérats immenses de petites particules solides, dont le diamètre moyen est de l'ordre de trente centimètres . (Dans ce genre d'étude nous établissons un profil densitométrique qui donne les abondances de ces micrométéorite en fonction de leur calibre).

 

Dans d'autres cas décelés et analysés par vous, les nébuleuses sont formées de poussière cosmique (nous utilisons la terminologie qui vous est familière). Nous sommes persuadés qu'une telle terminologie, utilisée par les scientifiques terrestres, ne colle pas à la réalité.

 

Ainsi, par exemple, à quelques mille parsec de la terre, dans l'axe qui unit votre planète à la constellation du Sagittaire (axe qui passe très près du centre de notre galaxie) une nébuleuse dont la plus grande dimension est 0.00017 Années-Lumières et qui est composée de glace et d'hydrogène; la dimension moyenne des éléments étant de 0.43 mm .

 

Dans d'autres cas la structure raréfiée de telles nébuleuses est simplement moléculaire . Le gaz peut-être si raréfié que dans un centimètre on ne trouvera en moyenne que 26 molécules .

 

Dans le cas le plus fréquent, les nébuleuses sont des conglomérats de particules solides dont la composition granulométrique s'étend de 0.00003 ENMO (unité de mesure de UMMO = 1.8736658) . N.D.T : De 5/100° à 15 cm .

 

Un type de nébuleuse dont les astronomes terrestres subodorent l'existence tout en ignorant la composition, est formé de grandes masses raréfiées d'ammoniaque à si basse température que les particules sont cristallisées en formant des petits filaments prismatiques . Ces nuages polarisent fortement la lumière .

 

Dans le cas qui nous intéresse aujourd'hui, et dont nous allons vous parler, il s'agit d'un des corps galactiques qui nous a le plus intrigué dans le temps et à qui nous accordons maintenant une importance transcendantale car son étude nous permet de mesurer les altérations de l'espace de notre WAAM (cosmos) provoquée par notre UWAAM (cosmos jumeau), malheureusement avec une marge d'erreur considérable .

 

Depuis de nombreux XEE (année de UMMO 0.212 ans de la terre) nos experts avaient localisé une série de conglomérats nébuleux dont la structure topologique correspondait à la forme d'un anneau ou tore de section elliptique, très turbulent . Voir dessin en fin de document .

 

Ces nébuleuses (comme vous les nommez) furent appelées par nos spécialistes sous le nom de IAGIAAIAOO .

 

On put rapidement en préciser la composition : hydrogène à si basse température, proche de l'état d'entropie minimale (que vous appelez le zéro absolu de température), à l'état solide sous forme de particules .

 

Ceci était déterminé par l'analyse de la lumière qui traversait le milieu; quelques XEE (cf. plus haut), YOOGOO 75, fils de YOOGOO 72, découvre la présence d'un faible champ magnétique dont les lignes de force se trouvaient sur des plans perpendiculaires à la section toroïdales .

 

Naturellement, l'hypothèse émise immédiatement consistait à considérer que ces particules d'hydrogène cristallisé, étaient ionisées et se déplaçaient en régime laminaire ou régime turbulent au sein de la nébuleuse . Dans ces conditions ces particules constituent un flux de particules chargées électriquement, un véritable courant électrique créateur d'un tel champ magnétique .

 

Cependant les analyses soigneuses (faites à distance car la plus proche IAGIAAIAOO se trouve à quelques 70884 années-lumières de UMMO) déterminèrent qu'un tel flux de particules n'existait pas . Par contre une série d'étrange phénomènes furent successivement soulevés. Par exemple : le plan de polarisation du rayon D du sodium était polarisé avec un angle de 0.8 Radians et par contre toute autre longueur d'onde lumineuse n'était pas polarisée .

 

De plus, au sein de la nébuleuse furent localisés des conglomérats lenticulaires de grande densité qui irradiaient fortement des trains d'ondes gravitationnelles de 5.833 Kilocycles par seconde . En échange, il ne fut pas possible de détecter à aucun niveau d'intensité le moindre signal d'émission radioélectrique .

 

Tout ce que nous savions sur ces nébuleuses était dû au passage en leur sein d'émissions lumineuses et électromagnétiques provenant d'autres astres et conglémérats galactiques .

 

Même si le comportement de ces IAGIAAIAOO était finalement peu surprenant, on découvrit vite que le champ magnétique, qui d'ordinaire se maintenait en plans perpendiculaires à ce même tore, se modifiait brusquement son plan se mettant à osciller sans que son intensité varie, sous une forme apériodique et apparemment anarchique .

 

Ensuite, l'oscillation diminuait jusqu'à disparaître définitivement, Ce fut UDDI24, fils de UDII 28, qui trouva avec surprise, que ces variations dans le plan du champ magnétique apparaissaient quelques mois après que se soient produites une de ces énormes courbures de l'espace tridimensionnel qui sont provoquées par le UWAAM (cosmos jumeau), et qui, comme vous le savez sont utilisées par nos vaisseaux pour se déplacer dans d'autres points de notre Galaxie avec des durées qui, sous une autre forme ou en utilisant la ligne droite dans l'espace tridimensionnel, nécessiteraient de si grandes périodes qu'il ne nous serait pas possible de songer à les franchir .

 

Régulièrement, de telles altérations magnétiques se succédaient tous les deux XEE (0.042 années approximativement) après que nous ayons enregistré de telles extorsions tétradimensionnelles .A ce moment là notre technologie commençait à initier les premiers balbutiements (après la sensationnelle découverte qui nous permit d'inverser l'orientation des IBOZOO UU) en ce qui concerne les voyages galactiques à de grandes distances.

 

Un des objectifs fixés fut précisément l'exploration directe de ces étranges nébuleuses .

 

A ce moment là les premiers voyages étaient réalisés à l'aide d'équipements autonomes . Un peu comme les fusées dirigées radioélectriquement que vous, les terrestres, utilisaient dans la phase actuelle vos explorations spatiales .L'unique différence consistait dans le fait que le processus d'étude et de route qui devaient suivre les premiers OAWOLEA UEWA (vaisseaux de UMMO) était programmé au préalable dans un cristal de titane en y mémorisant toutes les instructions.

 

Les équipements à bord du vaisseau étaient donc contrôlés pendant l'exploration sous la présence de nos frères . Ceci pourra peut-être vous étonner car vous pourriez penser qu'il aurait été beaucoup plus facile de réaliser ce processus par un contrôle au moyen d'ondes radio-électromagnétiques, mais n'oubliez pas qu'un tel contrôle est impossible une fois que le vaisseau à subi la OAZWOLEIIDAA, processus pendant lequel ses particules subatomiques subissent une phase d'inversion à un autre système tridimensionnel .

 

Dans ces conditions un train d'ondes électromagnétiques se propage au sein du système tridimensionnel antérieur (celui qui nous est familier) et son champ de radiations est maintenant inaccessible pour le vaisseau .

 

Bien entendu, une fois arrivé à destination, l'équipement revient dans le milieu tridimensionnel abandonné, mais à ce moment là, la distance qui le sépare de notre Planète UMMO est peut-être de douzaines d'années-lumières, et le contrôle radioélectrique dans ces conditions, est très difficile et il ne faut pas non plus songer à un contrôle à l'aide d'ondes gravitationnelles (technologie que vous ne connaissez pas encore) car l'énergie de ces émissions est infinitésimale .

 

En effet, le premier OAWOOLEA UEWAA (astronefs de UMMO) qui se déplace vers cette nébuleuse la plus proche, que nous appelons IAGAIAAOO UO car elle fut la première détectée, avait en son sein toute une série d'instruments pour son étude et son exploration .

 

Ainsi, nous pûmes découvrir une des plus fascinantes caractéristiques de ces nébuleuses .

 

Les équipements d'étude de température révélèrent un phénomène qui laissa, au début, nos scientifiques perplexes . Ils révélèrent que la température au sein de nébuleuse était de -270° C (270° en dessous de zéro selon l'échelle centigrade terrestre) c'est à dire un peu supérieure à 3 degrés Kelvin .

 

Durant 0.7 XEE (un XEE étant 0.21 Ans terrestres) cette température demeura constante . Mais, subitement elle subit un brusque abaissement, arrivant à atteindre 273.14 en dessous de zéro . C'est à dire deux douzaines au dessus de ce que vous appelez le zéro absolu . Cette énigme demeura longtemps sans réponse . Sous une forme apériodique se produisaient ces violentes altérations de la température du noyau gazeux . Mais, nos chercheurs furent surpris en constatant qu'il existait un indice significatif de corrélation entre cette baisse thermique et l'apparition postérieure de plis dans l'espace tridimensionnel provoquée par l'autre UWAAM . Malheureusement l'intervalle qui séparait ces deux moments (baisse thermique et plissement tétradimensionnel) souffrait d'une latitude considérable, de 0.4 XEE à 3.3 XEE. Ainsi, une fois observée la chute de température, on pouvait prédire dans un "futur proche", des conditions ISODYNAMIQUE dans l'espace très favorables pour des voyages galactiques déterminés, mais avec des marges d'erreur dans le temps aussi larges que nous venons de vous l'indiquer .

 

Précisément EN CE MOMENT (document écrit en 1967, -NDT) nous, les frères qui sommes sur Terre, attendons une phase de plissement favorable durant laquelle un de nos vaisseaux se déplacera jusqu'en Espagne, un autre en Amérique du Sud et enfin un troisième en Australie ou aussi en Amérique du Sud .

 

L'intervalle d'erreur s'étend jusqu'au 6 ou 7 Juin 1967. Ce phénomène que l'on ne peut observer que dans ce type de nébuleuses constitue pour nous, malgré son extrême imprécision, l'unique forme scientifique d'estimation ou de prédiction des possibilités de nos voyages .